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Objectif 250%
Il reste 10 jours pour profiter de la pré-commande avec ses surprises ! D’ores et déjà, tous les contributeurs vont repartir avec un billet indien, argentin, indonésien, chinois ou même libanais ou américain customisé.
𝗟𝗲𝘀 𝟮𝟱𝟬 % 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗲𝘁 𝗶𝗹 𝘆 𝗮𝘂𝗿𝗮 𝗱’𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀
𝗘𝗻𝘁𝗿𝗲𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗔𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲𝗿𝗶𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 Tarek et Violaine Pondard, auteure de plusieurs livres sur le street art. Depuis le passage de Tarek dans DÉDALE en 2018, ils ont échangé longuement. Ce livre retrace le parcours de vie d’un artiste aux multiples facettes. Fils d’immigrés tunisiens, Tarek se lance dans des études d’histoire à la Sorbonne, se spécialise dans l’histoire médiévale, l’orient et l’art. Il reste animé par l’envie de raconter des histoires et d’écrire des livres. Observateur du mouvement naissant qu’est le graffiti, il est le premier à sortir un ouvrage sur le sujet, en 1991, alors âgé de 20 ans. Paris Tonkar est depuis devenu une référence en France et en Europe. Après son service en tant que coopérant en Syrie, où il s’éprend d’amour pour Damas, une des villes à l’origine de notre civilisation, il devient scénariste de bandes dessinées. Des BD adultes et jeunesses pour lesquels Tarek puise dans l’Histoire des tranches de vie qui se mêlent aux mythes et aux légendes. Il renoue avec ses premières amours, la peinture, en 2010, et expose aujourd’hui dans une quinzaine de galeries à travers le monde. Un artiste complet au parler franc.
Pour la pré-commande, c’est par ici :https://fr.ulule.com/entretiens-a-l-atelier/
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Sciences nazies – La race, le sol et le sang
Sciences nazies – La race, le sol et le sang | ARTE
Voir le documentaire : https://youtu.be/EJzInpJRADc
Comment la science allemande s’est massivement ralliée au nazisme, légitimant ses crimes et y participant. Une page en partie méconnue de l’histoire du IIIe Reich. Si la médecine nazie et ses expérimentations monstrueuses ont été partiellement jugées à Nuremberg (la plupart des coupables étaient en fuite), le rôle assigné dès 1933 par Heinrich Himmler, le maître de la SS, à l’ensemble de la communauté scientifique allemande est moins connu.
Obsédé par le désir de prouver la supériorité de la race germanique, le futur maître d’œuvre de la « solution finale » crée en 1935 l’Ahnenerbe (littéralement « héritage ancestral »), institut scientifique doté de moyens colossaux pour effectuer chantiers de fouilles et expéditions à travers le monde. Si l’archéologie – dont 80 % des représentants adhèrent au parti national-socialiste – et l’anthropologie sont en première ligne, toutes les disciplines vont travailler avec ardeur à la tâche qui leur est assignée : légitimer l’entreprise d’épuration raciale, de germanisation des territoires et de domination idéologique du régime.
Beaucoup de chercheurs, membres de la SS, vont aussi participer directement aux crimes de masse du nazisme, soit au sein des commandos d’extermination sur le front de l’Est, soit en se livrant à des expériences barbares sur des humains, ou encore en organisant le pillage à grande échelle des territoires conquis. Objectifs délirants L’histoire de cette « science de combat », et la manière dont elle s’organise pour se plier aux objectifs délirants fixés par Himmler puis, après la guerre, pour échapper largement à la dénazification superficielle menée par les Alliés, est retracée par David Korn-Brzoza à partir d’archives en partie inédites et de témoignages de nombre d’historiens ayant contribué à mettre ces faits dans la lumière.
Son film revient ainsi sur les élucubrations de Himmler, persuadé qu’en cherchant bien la science pourrait montrer que les Germains ont inventé tous les acquis de la civilisation. Il rappelle aussi comment, au camp de concentration Natzweiler-Struthof, choisi pour sa proximité avec la Reichuniversität de Strasbourg, l’anatomiste August Hirt a fait exécuter 86 déportés sélectionnés à Auschwitz pour constituer une collection de « squelettes juifs ». Un épisode atroce et méconnu dans la longue liste des horreurs commises jusqu’aux dernières heures de la guerre au nom de la « science » nazie.
Documentaire de David Korn-Brzoza (France, 2017, 1h38mn)
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Entretiens à l’Atelier
Ce petit message pour vous annoncer la mise en ligne d’un nouveau projet éditorial dans lequel Tarek évoque son parcours artistique depuis son enfance. Le livre est agrémenté de nombreuses illustrations et en annexe des documents apportent des éléments visuels sur certains des aspects de sa vie d’artiste.
Merci de contribuer et de partager autour de vous !
Un livre de Tarek et Violaine Pondard
Pour contribuer : https://fr.ulule.com/entretiens-a-l-atelier/news/
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Collaboration avec la galerie JPHT
Vous pouvez retrouvez des dessins et des peintures de Tarek, Vincent Pompetti et Stéphane Perger sur le site de la galerie JPHT à Paris.
Les œuvres sont en vente sur le site Artsper mais vous pouvez également contacter les auteurs pour des demandes particulières ou des commissions.
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Sir Arthur Benton chez Nouveau Monde
C’est officiel, notre série rejoint le catalogue de Nouveau monde éditions. Les deux intégrales seront de nouveau disponible cette année en France, Belgique et Suisse.
Sortie prévue en automne 2023.
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Le nazisme fut-il moderne ?
Rencontre organisée le 29 septembre 2022 par la revue Aide-mémoire des Territoires de la Mémoire, avec l’historien Johann Chapoutot, spécialiste du nazisme.
Johann Chapoutot pose la question du statut du nazisme dans notre histoire contemporaine : aberration ou expression de tendances lourdes de notre temps et de notre lieu, de notre modernité ? Le nazisme fut un exemple de matérialisation d’un extractivisme dévastateur, d’une exploitation colonialiste et capitaliste destructrice de l’humain et de l’environnement, d’un darwinisme social et institutionnel mortifère. « Un rapport minier au monde et aux êtres, considérés comme des gisements de croissance, de productivité, de rentabilité, dans lesquels il faut puiser, jusqu’à l’épuisement ».
Mais ces notions ont-elles disparu de nos sociétés contemporaines dites humanistes ? À bien y regarder, il semble difficile de répondre par l’affirmative même si les mots et les visages ont changé. Une étude de cas du management pratiqué sous le nazisme et poursuivi dans les secteurs de l’entreprise et de l’administration allemande (et au-delà) d’après 1945 fait résonner étrangement des notions telles que ressource humaine, rentabilité, performance mais aussi flexibilité et autonomie. Éléments d’un récit qu’il nous faut décrypter au présent ! Une rencontre qui n’aura pas manqué de passionner autant que d’interpeller le public présent en nombre.
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Comment Hitler a fait évader Mussolini
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Que pensaient les jeunes allemands d'Hitler ?
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Tarek est à Berlin
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Roosevelt et Churchill, complices de Pearl Harbor ?